Parce qu'écrire est bien plus qu'un besoin, c'est une raison de vivre... ♥

Bonjour & Bienvenue dans mon recueil...




Je sais qu'il existe le topic "Citations", mais je tiens à avoir le mien, car j'écris énormément et que j'ai besoin d'avis, de conseils sur chacun de mes écrits.
Je vous demandes de ne pas seulement lire, mais de si possible mettre un commentaire, que ce soit un compliment, une critique, des conseils etc, ça peut m'aider pour m'améliorer ^^ Pour moi écrire est vraiment une raison de vivre... ♥

Bonne lecture, et merci à ceux qui m'aideront :) !
[Ces textes sont personnels, merci de respecter, vous pouvez partagez mais demandez avant. Les textes auront des noms de manière à vous facilité les choses si vous voulez dire quelque chose.]

Texte 1 : Rupture.

« En une seconde mon cœur s'accélère, ton nom vient de s'afficher à l'écran, je souris bêtement, et je stresse un peu, j'appuie sur la touche magique pour afficher ton message, mon cœur s'accélère un peu plus. L'espace d'un instant mon sourire s'agrandit puis tout s'écroule, mon sourire disparaît, mon cœur ne bat plus, non tu viens de l'arracher. Mon portable tombe, mes mains tremblent, un instant mon visage reste figé puis d'un coup j'éclate en sanglots, je hurle, je me met à taper dans tout ce qui passe par là, puis je tombe près de mon portable, qui affiche toujours ces deux malheureux mots : « C'est fini. ». Deux petits mots qui en apparence n'ont aucun sens mais qui assemblés, peuvent détruire quelqu'un en quelques secondes. »

Texte 2 : Meilleur Ami

« Un jour j'ai rencontré un mec formidable. Un mec qui arrive à faire briller mes yeux de joie même quand au fond je pleure. Celui qui, malgré sa putain de vie souris aux autres et fera tout pour vous faire sourire. Un petit bout d'homme qui malgré les défaites et les coups bas ne baissent jamais les bras. Un mec avec qui un regard suffit pour que l'on se comprenne. Celui qui me connaît par cœur et qui m'accepte comme je suis.
Ce gars là n'est pas n'importe qui, c'est simplement celui à qui je tiens le plus dans ce monde, celui pour qui je serais prête à faire n'importe quoi, même si parfois c'est un beau boulet, c'est avant tout Mon Chou, Mon Play-Boy et surtout Mon Frère. Ce mec là pour rien au monde je le laisserais, parce que je l'aime comme une folle et qu'il est tout pour moi. »

Texte 3 : Harcèlement

« Chaque jour, elle le redoutait un peu plus. Ça commençait par l'arrivée dans cette cour, grande mais froide, puis cette sonnerie, la plus redoutée qui signifiait le début du calvaire. Les rires moqueurs se sont mis à pleuvoir, mais le prof' est arrivé, ça lui as permis d'y échapper le temps de quelques cours, mais elle sait que tout recommencera bientôt. A nouveau la sonnerie retentit, celle qui signifie la vengeance, elle le sait, ils vont venir. Elle a eu raison, ils sont venus, les coups se faisaient de plus en plus violents, elle ne criait même plus, son corps était tellement défoncé qu'elle ne ressentait même plus la douleur. Les injures lui claquaient au visage, bien plus fort que n'importe quelles gifles. Elle était recroquevillée sur elle-même, le visage inondé de larmes, le corps meurtri et le cœur encore plus déchiqueté. Puis ils sont partis, ceux qui ont assistés à la scène ont rit, se sont moqués d'elle, l'ont montrés du doigt et l'ont critiqué. Elle a pas bougé, elle a attendu qu'ils partent. Il y a eu la sonnerie, mais elle n'a pas eu la force de se relever, pas cette fois, pendant trois longues heures elle est restée là, dans ce petit coin humide de la cour, celui qu'elle connaissait si bien, cet endroit sombre, à l'abri des regards, et, ou à chaque fois elle se faisait battre. Elle eut du mal à se relever à cause de la souffrance suite au coups, elle essuya ses larmes, et rentra chez elle, seule comme d'habitude. La maison était vide, seule le bruit de ses pas résonnai sur le carrelage, puis sur le parquet, puis plus rien. Elle s'écrasa sur son lit, elle pleura et cria jusqu'à ce que ses yeux soient à sec et qu'elle n'est plus de voix. Elle se leva, essuya ses larmes d'un revers de manche, elle ouvrit le tiroir et prit la lame. Elle l'observa, longuement, elle la connaissait bien, sa meilleure amie, celle qui l'aidait lors de ses grandes peines, ses plus grands désespoirs. Elle hésita quelques instants, mais elle finit par l'approcher de son bras droit, elle trouva une lamelle de peau libre, elle l'approcha, un peu plus encore. La maison était redevenue silencieuse jusqu'au fracas d'un corps sur le sol. Le sang encore chaud s'étala sur le parquet. Elle s'est tuée, une larme sur la joue, une main sur son cœur et l'autre tenant la lame de rasoir. Juste au bout de celle-ci, un papier, tâché de sang, avec juste quelques mots, « Adieu, je ne suis pas aussi forte que vous, désolé... ». Ecrit en rouge sang, son sang. »

Le dernier est super dur, une bien triste histoire que celle que tu raconte là ..
Bien écrit cependant, mais très sombre ..
Je pense que tu as du talent en tout cas, et je suis sure que tu ne fera que progresser au fil du temps :)

Texte 4 : Joie de Vivre :

Elle marche le long du mur d'un pas assuré, le sourire aux lèvres. La pluie se met à tomber, elle regarde les gens courir pour éviter la pluie et ceux qui ouvrent leur parapluie. Elle sourit encore plus, elle rit presque. Elle se met à courir, les cheveux dans le vent, la pluie s'intensifie, la rendant encore plus souriante. Elle arrive dans un parc, l'orage éclate, elle s'arrête au milieu d'un grand terrain d'herbe, à nouveau elle sourit en voyant les gens se précipiter vers les abris. Une fois seule, elle éclate de rire et se met à ouvrir les bras en tournant sur elle-même, elle va de plus en plus vite. Les éclairs strient le ciel, le tonnerre gronde comme jamais, mais elle continue de tourner. Tout étourdit, elle tombe, mais elle rit encore plus, et elle se met à remercier la terre entière. Elle se relève, court à travers les arbres, fait quelques tours autour de certains, toujours morte de rire, elle traverse toute la ville en sautillant de joie. Les gens la dévisagent, la traitent de folle, mais elle s'en fiche, plus rien ne l'atteint, elle est bien plus forte que tout ces gens réunit. Aujourd'hui elle a vaincu la maladie, celle qui l'emprisonnait dans un chambre blanche et puante depuis 3 ans. Aujourd'hui, alors que les médecins la disaient condamner et qu'elle se laissait mourir, la maladie à disparût. Ce jour-là elle ne l'oubliera pas, maintenant elle s'est promis qu'elle profiterai de chaque seconde de sa vie à fond, comme si c'était la dernière.

Ne jamais baissez les bras, peu importe ce qu'ils vous arrivent, la roue tourne un jour ou l'autre même si elle met parfois du temps.

Il est vraiment joli ce dernier texte ! Fin inattendu

Texte 5 : Regrets

"Elle est assise sur un banc et elle pleure, elle ne s'arrête plus, elle hurle, elle donne des coups de pieds dans le banc, se roule par terre et frappe le sol. Mais personne ne la voit, personne ne l'entend. Pourquoi crie t'elle de toutes ses forces "Pourquoi ?!" . Pourquoi hier soir elle à approché cette lame de ses veines... Elle allait tellement mal, à cause d'un garçon, encore une fois. Mais là c'était différent, elle était amoureuse, 7 mois de relation parfaite et plus rien, partit avec une autre la laissant se morfondre dans son désespoir. Tout le monde lui a dit "Ça passera, tu verras t'en trouvera un mieux, 1 de perdu 10 de retrouvé !" .Mais elle s'en fichait des 10, elle le voulait, lui, et aucun autre. Elle a lâché prise, elle n'avait plus la force de se battre, elle a écrit un mot puis elle s'est envolée vers un monde meilleur. Mais aujourd'hui elle regrette, elle voit sa famille la pleurer chaque jour, chaque minute de leur vie. Son ex, lui aussi pleure, elle s'est aperçue qu'il l'aimait encore, maintenant il se taille tous les soirs. Elle regrette son geste, jamais elle aurait dû. Mais désormais c'est trop tard, elle ne peut plus revenir en arrière, elle peut juste constater les dégâts qu'elle a fait derrière elle sans pouvoir agir. "